Samedi 02 Octobre 2004
La Sirène d'Occident
--> Les vies antérieures
Elle s'appellait Vecky. Une jolie japonaise aux longs cheuveux noirs, attachés avec un ruban bleu roi, en une grande et longue tresse, qui lui descendait jusqu'aux reins. Ses doux yeux violets avaient des reflets bleus eux aussi. Elle était la fille de Maitre Amashido, le plus célèbre acrobate et professeur d'arts martiaux de tout le Japon.
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Vendredi 03 Septembre 2004
Le Pont de la Fin
--> Une Histoire du Japon Médiéval
Au lointain Orient, dans le Japon oriental, il était une fois un samouraï qui n'avait peur que d'une chose : les femmes. Il avait peur de l'amour.
Lors d'une guerre, il fut battu par son oposant et enchainé. Devenu esclave, il tua toute les femmes de la maison de son maitre puis s'enfuit.
Sa légende grandit, et il rencontra un jeune voleur qu'il prit sous son aile et entraina dans l'art et la discipline des Samouraïs de l'ancien empire. Vint un jour ou il dut se séparer de son disciple.
Ils étaient dans une forêt de laquelle on entendait le tonnement et le grondement du nouveau canon de l'empereur, un canon "feu du dragon des enfer". Alors, ils se ruèrent tout deux dans la bataille, luttant pour la justice et la liberté. Ils semèrent la pagaille et décimèrent les troupes de l'empire, tuant tous les officiers chargé du canon. les soldats de la rébellion, ravis, joignirent la bannière du pont au dessus de la rivière qui coule vers le soleil, la bannière du Samouraï.
Avec son armée, il gravi la montagne, et rasa la maison de ses anciens maitres, gagnant chaque jour du terrain sur l'empereur. Arrivé devant la porte de la citadelle impériale, il se détint et il laissa son armée au pied de la cité pour l'assiéger.
Un an passa.
Après l'hiver et le siège, l'automne amena la paix et il reçut lui meme les clés de la ville.
Au jour ou les feuilles roses des platanes du japon tombèrent, il repartit avec son disciple, toujours dans la montagne. Arrivé en haut, il vit un pont qui commencait et se terminait cinq metres plus loin, au dessu d'un gouffre sans fond.
Une silhouette se dressait sur le pont.
"- Bienvenu, Senji-san, il est temp de rencontrer ta peur."
C'était une femme frêle, a l'allure de garcon pré-pubère.
Prenant sa masse a deux main, il s'élança vers la femme, prêt à lui fracasser le crâne pour la tuer.
Alors qu'il devait la percuter, elle s'évanoui dans l'air et il termina sa course, volant et braillant dans le gouffre.
On entendit l'écho répercuter le son de ses os qui se brisaient et son dernier râle.
Le disciple, après une quarantaine d'année et bien des défaites face à la nouvelle armée d'arquebusiers du nouvel emprereur, choisit que sa mort serait une mort noble : le Hara-Kiri.
A l'aube de la victoire, il parti avec son disciple dan la montagne enneigée, Il lui raconta l'histoire de son maitre et s'enfonça la lame dans le nombril remontant jusqu'au plexus, se coupant les côtes et arrivant finalement à la Pomme d'Adam.
"- pas maintenant."
Dans ses hallucination pré-mortuaires, il vit une femme aux allures de garcon pré-pubère. Elle l'attendait devant un portail de temple, rouge sang.
"- Viens, tu doit croiser le pont.
- Maintenant." Dit-il à son disciple.
le disciple, la main tremblante de crainte révérentieuse, s'avança.
"- Ne tremble sutout pas."
Et d'un geste large, celui qui fut et qui devint perdit la tête. Elle roula un moment, puis tomba dans le gouffre automnal ou le corps de son maitre attendait.
Horrifié par l'apparition en plein hiver d'un gouffre d'automne, le disciple, rebroussant chemin dans la neige rouge, annonça la nouvelle à ses camarades, leur commandant de gagner cette bataille comme le Disciple de Senji avait demandé.
Ils désobéirent aux ordres du mort, perdirent la bataille, furent battus, enchainés, et quand on appris qu'ils avaient désobéis au mort, ils furent tous décapités et écartelés.
Vendredi 02 Juillet 2004
Encore ce rêve...
--> Freud est tu là ?
Je suis dans ma chambre, il fait sombre, c'est le soir. dehors, les lumières oranges des lampadaires illuminent un impasse que je connais par coeur. Les volets ouverts laissent filtrer les bruits de la fête chez les voisins. J'ouvre la fenêtre pour fermer ces volets afin de pouvoir dormir, et un chat orange se jette sur moi, il a sauté du pied du mur, environ un mètre cinquante à la verticale, avant d'atterir sur ma figure, toutes griffes dehors. il se plante littéralement sur moi, et me lacère le visage, ggriffant, mordant, crachant et miaulant comme un damné. Mon sang gicle de partout à la fois, il retapisse ma chambre dans des tons carmins et bordeaux. Ivre de douleur, je l'attrape par la taille, le serre, le jette sur le mur, mais il revient à la charge. je l'attrape d'une main par la tête et le plaque au sol, maintenant indifférent à ses coup de griffes qui me déchiquetent le bras jusqu'a l'os. Mon autre main se serre en un poing, je ferme les yeux, et je frappe. Je frappe, je frappe, je frappe, encore et encore, car ce n'est plus un chat qui est là, mais toutes ces personnes qui m'ont fait du mal, tout ceux qui m'ont humilié, tout ceux qui m'ont poussé au suicide, mais qui ont raté, tout ces gens des plus haïssables.
Quand je sors de ma rage frénétique, il y a par terre un corp de chat, décapité, et la tête ainsi que tout son contenu est devenu un liquide suintant. je l'ai réduit en bouillie. J'ai peur. Je me regarde dans la glace, et je ne vois que trois coups de griffe de chaque coté. trois entailles profondes et qui ne s'effaceront jamais. Elles prennent feu et je me réveille en sueur, guettant le moindre mouvement, le moindre bruit...
Mercredi 30 Juin 2004
La soirée
--> Passion
La douce soirée d'été faisait luire les derniers rayons d'un pâle soleil. La villa aux colonnes grecques était un messages à ses invités, comme un patriarche bienveillant, surveillant son troupeau.
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